- comparer les religions à la cuisine ethnique - faire un parallèle entre les différentes cultures alimentaires comme on peut le vivre à travers les restaurants (chinois, mexicain, iltalien, grec, etc ...) et les différentes traditions religieuses ou nous pourrions être ouverts à pratiquer différentes religions selon nos envies (faisons-nous du musulman ce soir ou de l'hindou). - l'alimentation corporelle culturelle inclut: recettes, lieux de consommation, protocole de table, aliments - l'alimentation spirituelle religieuse inclut: livres sacrés, lieux de culte, rituels de connection, principes essentiels - les gens varient les modes culturelles de leur alimentation (resto ethnique) mais sont exclusifs au niveau spirituel - les peuples primitifs avaient par intuition une saine notion de l'alimentation, conforme aux principes scientifiques modernes reconnus - on pourrait reconnaître et extraire les aliments spirituels essentiels des pratiques religieuses connues - la recherche spirituelle interreligieuse fait partie intégrante de la culture nouvel âge - qualifiée d'écclectisme par ceux qui défendent leur propre religion et déplore la perte de fidèles - qualifiée de superstition par ceux qui dénigrent la nécessité de nourriture spirituelle - qualifiée de science spirituelle par ceux qui voient en elle l'avenir de l'humanité - tout comme la science moderne a mené à l'élaboration du guide alimentaire canadien et autres préceptes du genre, la science spirituelle mènera à l'élaboration du guide de l'alimentation spirituelle à partir des expériences humaines connues - loin de moi l'idée d'écrire seul un tel guide, seul le temps, l'ouverture d'esprit et la collaboration multiculturelle pourra y arriver - je peux cependant voir que la connaissance humaine s'élabore à partir de 3 moteurs perceptifs que sont le corps (sensoriel et comportement), le coeur (sentiments et désirs) et la tête (concepts et analyses) - lorsque ces 3 moteurs se sont éteints (comme dans la méditation profonde), alors ce qu'il reste de la conscience, c'est la conscience pure, c'est l'âme véritable, c'est Dieu - plus l'élaboration de ce guide avancera, plus il sera facile d'y trouver des réponse concernant les accommodements raisonnables et les conflits religieux - nous devrons cependant avoir le courage de dénoncer la maladie spirituelle et de soigner ou isoler les porteurs de virus spirituels contagieux - il ne faut pas croire que les philosophies du nouvel âge possèdent toutes les réponses, mais comprendre qu'il s'agit d'activités de recherche ouvertes à toutes les connaissances humaines, basées sur l'expérience au quotidien plutôt que sur la révélation figée dans le temps, ce qui n'exclut pas des comportements sectaires, superstitieux ou suiveux - s'il n'y a pas de conflits avec les restaurants et la cuisine venu d'ailleurs, il ne devrait pas y en avoir avec les cultes venus d'ailleurs - chercher dans Google les différentes références pour "alimentation spirituelle". - Gallilé a failli passer au bucher pour ses idées scientifique à l'encontre des dogmes religieux - Prioritaire aux droits, l'ouverture d'esprit devrait être un devoir et ceux qui n'en n'ont pas devraient y être éduqués - Le problème des prescriptions religieuses est le caractère sacré qu'on leur confère. - Aller à l'essentiel du message du maître/prophète/sage/guru et pratiquer la tolérance que tous nous ont enseigné éviterait tous ces problèmes d'accomodement. - Le problème de l'accomodoment n'est pas exclusivement religieux mais générique à toute interaction inter-culturel. - Ce problème n'est pas exclusivement moderne mais a toujours existé, parfois par les persécutions, la ségrégation, l'assimilation, les guerres civiles. En fait, ces accomodements ont rarement été effectués de façon raisonnable et souvent au détriment de la culture la plus faible militairement parlant. - Les lieux de prière dans les institutions publiques devraient être neutre et ouvert à toute allégance religieuse. Il y a certe un effort d'accomodement demandé aux diverses instances religieuses mais l'accomodement doit aller dans les deux sens. Cela permettrait également le partage culturel qui amènerait une plus grande tolérance interculturelle.